Zone de Texte: Chacun peut observer qu'actuellement, la prétention, l'orgueil et l'appât du gain font que tout s'organise à l'encontre de ce principe : l'homme veut imposer à la nature ses conceptions. Quand je dis l'homme je suis dans l'erreur, je ferais mieux de dire quelques millions d'entre eux (sur plus de 7 milliards) comme de nombreux chimistes, architectes, industriels, etc., sans oublier de nombreux agriculteurs et éleveurs pour qui l’appât du gain est la motivation principale au mépris de la qualité de leurs productions et du bienêtre des animaux ! Tout le monde ou presque a entendu parler d’une « simple » histoire sur les germes.
Le biologiste Louis Pasteur a découvert que les microorganismes ou « germes » causaient des maladies. Selon la « théorie des germes » qu’il a défendue. Selon cette théorie, nous « attrapons » les bactéries, les rhumes, les virus et il faudrait les prévenir par des médicaments, des vaccins et d’autres moyens. On nous a appris à avoir peur de ces germes et, par peur, à essayer de les « tuer » avec des médicaments plutôt que de créer de bons environnements dans notre corps (les micro-organismes bénéfiques et un bon équilibre immunitaire, des niveaux sains de PH, etc.)
La plupart des gens ne savent pas que 
Pasteur est accusé de plagiat, volant ses idées à plusieurs scientifiques antérieurs et 
sa théorie a reçu l’opposition de nombreux scientifiques dont Antoine Béchamp, un chercheur et biologiste français (qui était aussi le rival de Pasteur avec une vision exactement opposée des germes). Ce sont ses conceptions qui sont à la base de la naturopathie et de toutes ses formes et ses dérivées, traités ci-après !
















































Nutrithérapie

Oui mais, diront certains, il existe des magasins spécialisés en produits naturels. C'est vrai, mais qui contrôle l'authenticité de ces produits vendus pour naturels, pardon biologiques (le mot naturel est si vulgaire de nos jours…), mais, voyez-vous, il conserve notre préférence, mais il impose, pour nous, des impératifs très stricts pour mériter le qualificatif de naturel, plus strict encore que celui très à la mode de biologique qui admets les pulvérisations de sulfate de cuivre (Produit toxique). Pour garantir les qualités des produits, un contrôle rigoureux s’impose, mais évidemment effectués par des personnes extérieures à leurs groupements de producteurs ou de revendeurs !
 
Comment sont contrôlés les produits bio ? Aujourd’hui, les produits bios sont contrôlés à toutes les étapes de la filière. Les contrôles sont réalisés par des organismes indépendants agréés par l’Institut National de l’Origine et de la Qualité (INAO) qui attribuent des certificats garantissant l’origine biologique du produit (dont Ecocert, Agricert, Certipaq, etc.). Les contrôles concernent l’ensemble des opérateurs de la filière bio : producteurs, transformateurs, stockeurs, négociants, importateurs, conditionneurs, distributeurs. Chacun de ces opérateurs fait l’objet d’un contrôle annuel obligatoire, éventuellement complété par des visites inopinées. Un certificat qui liste les produits conformes est remis à l’opérateur à l’issue du contrôle. L’opérateur s’engage à respecter le règlement bio, à accepter contrôles et prélèvements, à signaler tout problème lié à la certification bio et à payer l’organisme certificateur. Le coût des contrôles est donc à la charge des producteurs. Il s’agit là d’un principe contraire à nos conceptions : Nous mettrons un terme à certaines possibilités de corruption, en faisant effectuer ces contrôles par un service totalement indépendant, assimilé aux services de police, et non plus à des services privés.

Irrégularités possibles
Défaut d’adhésion au système de contrôle
Absence de mentions obligatoires
Usage non conforme du logo AB ou de l’Eurofeuille
Présence de résidus de pesticides interdits
Contrôles impossibles de nombreux produits d’importation.

Sanctions possibles
Produits déclassés et interdits à la vente sous l’appellation biologique
Interdiction momentané de produire en bio
Perte du label

De son côté, la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes contrôle les produits présents sur le marché. En 2017, il y a eu plus de 3600 actions de contrôle avec un taux d’anomalie de 19%. Les anomalies observées relevaient du respect de la réglementation en bio, des étiquetages, de pratiques commerciales trompeuses, et de traçabilité des produits. (Source)

Pour les produits bio importés, Les contrôles à l’importation de produits biologiques ; pour les importateurs et premiers destinataires de produits issus de l'agriculture biologique en provenance de pays tiers, les marchandises arrivent par les points d'entrée notifiés à la Commission européenne pour la réalisation de ces contrôles. Faire confiance à une telle institution n’entre pas dans le cadre du R.P.L. (Sortie de la France de cette dictature européenne). Avec le R.P.L., ce genre d’importation est incontrôlable sérieusement, et ces importations seront réduites au maximum, la santé publique, pour nous, passera avant les considérations financières. 

Pour obtenir une information complète sur ce sujet, cliquer sur ce lien : Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes 

Une chose est certaine : ces produits bios vous sont vendus 2 à 3 fois plus chers que les produits classiques, donc, c'est du sérieux ! Je ne peux pas m'empêcher de sourire. Il est si facile d'exploiter la naïveté des gens : quel commerçant ira contrôler la qualité de l'alimentation donnée aux animaux ? Et si cela était, quelles sont les compétences et moyens dont il dispose pour effectuer les contrôles nécessaires ? Oui, je sais, c’est l’administration qui s’en charge… Il en va de même pour tous les compléments alimentaires, tous ne sont pas aussi naturels que certains prétendent !

Ouvrez les yeux, les magasins spécialisés en produits réputés naturels sont de plus en plus remplis de pilules ou sirops de toutes sortes comme si ces potions magiques provenaient directement de la nature. 

Dans les pharmacies également nous trouvons de nombreux produits à base de plantes, pourquoi seraient-ils moins naturels ? N'oublions pas que la nature regorge de produits toxiques, alors, prudence, à moins que le snobisme vous fascine et que vous ayez trop d'argent ! 

Je considère qu'une alimentation naturelle sérieuse est un gage de santé qui permet de réduire d'au moins 50 % le taux des maladies. Donc, notre politique doit consister à tout mettre en œuvre pour obtenir ces résultats en moins de 3 ans. Je suis prêt à tenir ce pari en appliquant à la lettre ce qui va suivre : Pour obtenir des produits cultivés naturellement, il faut modifier la quasi-totalité des méthodes actuelles, sans les interdire, mais par de fortes incitations. Comme je l'ai dit, les principes de liberté ne doivent en aucun cas perdre leurs droits. Il ne serait bon pour personne de tout démolir. S'il plait à certains de manger n'importe quoi, c'est leur droit, chacun est responsable de lui-même. 


Produits naturels et liberté médicale
Contrairement à l’idée que les bactéries entreraient dans un hôte (corps) sain et créeraient des maladies par elles-mêmes, Béchamp a proposé que des entités vivantes appelées « microzymes » créent des bactéries en réponse à des facteurs hôtes et environnementaux, c’est ce qu’on appelle la « théorie de l’hôte ».

Dans la théorie de l’hôte, les gens n’attrapent pas les germes qui leur donnent des maladies. Au lieu de cela, les germes pathogènes sont en fait opportunistes et prospèrent chez les personnes dont le corps présente une faiblesse ou un déséquilibre interne. Ils sont un sous-produit de la maladie et non une cause de la maladie. Vous voyez, vous avez le SARM, le cancer, les virus et les bactéries en vous et sur vous tout le temps, tous les jours ! Un équilibre sain entre des bactéries bénéfiques et des environnements corporels sains permet de garder les choses malsaines en dehors et en équilibre. Si vous effacez tout cela en utilisant des savons antibactériens tout le temps ou des antibiotiques pour chaque petit rhume, alors vous ne détruisez pas seulement les mauvaises bactéries, vous effacez aussi radicalement tout l’équilibre bénéfique, vous laissant encore plus sensible aux nouvelles maladies sur le long terme.

Contrairement à Pasteur, qui a engendré une mentalité de tuer les germes pour prévenir la maladie, Béchamp comprenait l’équilibre et l’importance des environnements que nous créons avec les aliments que nos systèmes internes soutiennent ou non la maladie. Béchamp a théorisé que les germes étaient en fait les sous-produits chimiques et les aspects dégénératifs de l’état déséquilibré d’un corps. Pour que la maladie s’installe, il fallait déjà qu’il y ait un dysfonctionnement cellulaire, des tissus morts, des choses dans le corps déjà « malades » (si je peux créer un mot). C’est alors que le germe ou la bactérie apparaît et s’installe parce que le corps ou une partie du corps était dans un état qui leur permet de s’épanouir et leur donne un foyer. Ce dysfonctionnement cellulaire ou tissu mort est causé par la malnutrition ou l’exposition aux toxines. Comme vous pouvez le voir, la théorie de l’hôte et la théorie des germes sont deux points de vue radicalement différents sur la façon dont les gens contractent la maladie.

Pasteur était un débattant plus fort, un meilleur vendeur pour son point de vue et sa théorie l’a emporté, devenant la théorie standard utilisée aujourd’hui par la communauté médicale occidentale moderne et le fondement de notre compréhension générale des germes. La chute de la théorie des germes est qu’elle tente de traiter les maladies chroniques avec des médicaments. Il ne traite pas tout le corps. Lorsqu’Alexander Fleming a découvert la pénicilline, il s’est concentré sur la lutte contre les germes et les maladies au moyen d’antibiotiques et de médicaments, laissant les aliments dans la poussière.

Le R.P.L. prendra en compte la théorie du Professeur Béchamp, en dépit de toutes les oppositions rencontrées à ce jour, vivement encouragées par les milliardaires de l’industrie pharmacologique pour accroître leurs profits, au mépris de la vie humaine et animale. De ce constat, nous encouragerons les productions de produits naturels (aucune imposition) ce qui aura pour effet de réduire les dépenses causées par les maladies, sans oublier les souffrances physiques et morales qui en résultent. Nous ne devons pas hésiter, ni prendre de demi-mesures. Aujourd’hui, les aliments naturels sont taxés comme des produits de luxe, les autres non. Nous ferons le contraire, tout simplement, qu'importe si nous provoquons le mécontentement des actionnaires des industries chimiques et pharmaceutiques, sauf celles qui auront l'intelligence de travailler pour la dépollution. 
 
Le Rassemblement Pour la Liberté sera un régime fort ou ne sera pas. Les électeurs en décideront, pas les empoisonneurs. Comme vous le savez déjà, les impôts sur le revenu et les charges sociales seront supprimés. Le seul impôt sera la T.V.A. en raison de sa facilité d'application et de son caractère de Justice sociale qui ne pénalise pas les travailleurs. C'est par elle que nous pourrons aisément infléchir la production dans un sens ou dans un autre. Le régime actuel l'a parfaitement compris. Nous ferons de même, mais à l'inverse, c'est-à-dire que l'ensemble des produits naturels de consommation courante seront taxés d'un taux de TVA nul pour les produits naturels ou très bas (5 %) pour les produits bios : Votre boulanger, par exemple, pourra vous vendre du pain complet naturel sans taxe ! Oui, vous avez bien compris : un cultivateur pourra vendre ses fruits, légumes et lait sans taxe, à condition de respecter le cycle de production naturelle. 
 
De telles productions seront moins intensive et demanderont plus de main d'œuvre : création d'emplois, possibilités aux petits exploitants de rester à la terre, de rentabiliser les petites exploitations et d'en créer de nouvelles avec peu d'investissements, des avantages certains : non ? 
 
Qu'importe si cette politique est en totale opposition avec la politique européenne et française actuelle qui supprime des milliers d'exploitations agricoles françaises, nous sommes contre et n'hésiterons pas à sortir la France de cette ornière pour la remettre sur le chemin de la liberté et de l'indépendance nationale. 
 
Je ne pense pas que dans ces conditions nous assistions encore à ces gaspillages scandaleux de fruits et légumes lors des manifestations paysannes (productions volontairement arrosées de gazole sur la voie publique, etc.) alors que des gens meurent de faim (de telles manifestations seront d'ailleurs interdites pour entrave aux libertés des prix et de la circulation, en cas de mécontentement, le moyen de contester sera les votations locales ou le référendum national). Cela étant, les manifestations ne seront pas interdites, mais la violence et la destruction des biens d’autrui le seront, avec fermeté !
 
Attention, toute fraude (usage d'engrais chimiques, etc.) concernant l'appellation de produits naturels, au niveau des producteurs, sera très sévèrement sanctionnée. Il en ira de même pour les commerçants qui commettront la même erreur. Dans ce domaine, les contrôles seront très rigoureux et réguliers, mais jamais annoncés à l’avance…, ce qui permettra de recycler de nombreux fonctionnaires inutiles d'aujourd'hui. 
 
Pour les produits non naturels (la mention sera obligatoire sur les rayons et factures, le taux de TVA sera celui des produits ordinaires, soit 30 %, une charge totale encore inférieure aux charges totales actuelles. Ces différences de T.V.A. se justifieront par le fait qu'un poulet élevé au grain, dans la nature, par exemple, est meilleur à la santé que celui qui n'aura jamais vu le soleil d'un élevage industriel, une partie de cette T.V.A. sera destinée à la santé publique (gratuité totale des actes de santé publique : fin des gaspillages de l’URSAF). Il en ira de même pour l'ensemble des produits polluants utilisés par les industriels et les agriculteurs (Taux de T.V.A. à 120 et/ou 150 %). Ce sera aux pollueurs de payer leurs propres dégâts. 
 
Certains produits mettant l'équilibre écologique en péril seront interdits. Pour les produits polluants de moindre toxicité, une forte T.V.A. (60 % ou 80 %) les pénalisera et ce surplus de T.V.A. servira à la dépollution. Il est pour nous hors de question de faire payer aux consommateurs les dégâts occasionnés par certains industriels ou agriculteurs dont le seul but est le profit, sans aucun scrupule : Les spéculateurs à buts hautement financiers ne feront plus la loi ! 
 
C'est cela la vraie Justice, nous sommes donc en opposition totale avec l’ancien ministre écologiste, Brice Lalonde, qui voulait faire payer tout le Monde et accroître la répression et les contrôles. Nous refuserons toujours ces mesures injustes. Il convient de préciser que le R.P.L. n’a strictement rien à voir avec le parti écologique (les verts, formations d’extrême gauche très virulentes et liberticides).
 
L'eau des rivières sera dépolluée, mais ce seront les pollueurs qui payeront : une T.V.A. de 120 % (non récupérable) sur les produits, dont l'usage est polluant, sera appliquée voilà de quoi donner à réfléchir, sans parler qu'en cas de désastre écologique, ce sera le pollueur lui-même qui sera tenu pour responsable et non plus la collectivité. 
 
Les sanctions qui seront prises relèveront du droit pénal, c'est à dire qu'ils ne pourront plus échapper aux sanctions en se retranchant derrière une couverture d'assurance. Par exemple, en cas de pollution par marée noire, le propriétaire du produit et l’armateur seront tenus pour responsables pénalement, sans exclure les responsabilités civiles. L'argent ne saurait redonner vie à des milliers d'animaux ou d'êtres humains. De telles mesures de protection sont devenues hélas indispensables pour laisser en paix les millions d'hommes et de femmes qui veulent vivre sainement en respectant leur voisinage. 
 
Le problème de l'alimentation étant réglé, nous allons voir celui de l'hygiène de vie. L'équilibre naturel doit être respecté. Tout manquement à cette règle se paie un jour ou l'autre par des déficits de santé. Nous devons de toute urgence modifier nos modes de vie, corriger, dans la mesure du possible, nos erreurs passées et nous adapter au mieux, à notre environnement et à notre nature profonde. Pour évoluer naturellement, nous avons besoin, en plus d'une alimentation saine comme nous allons le voir, d'air pur, d'un mode de vie équilibré, de libertés et de possibilités réelles d'affirmation personnelle (équilibre affectif), d’où l’intérêt de la liberté médicale et la reconnaissance de la médecine psychosomatique naturelle et de la naturopathie, entre-autres. 
 
Il s'agit là, simplement, de la possibilité de vivre heureux, ce qui, je crois, est de la plus haute importance bien que les dirigeants qui se succèdent évitent ce mot de bonheur au maximum. 
 
Pour avoir de l'air pur nous devons résoudre celui de la pollution. Tout le Monde en parle, je sais : en son nom, on réduit les vitesses à outrance, on impose les pots d'échappement à catalyseurs, on accuse les automobilistes de tous les maux, on ergote tous azimuts. Les experts se rencontrent (de bonnes occasions pour faire de bons repas, payés par les contribuables, comme les voyages et les heures perdues trop payées pour les résultats obtenus), on réfléchit, on s’écoute parler, mais surtout, on crée de nouvelles taxes mais aucune solution intelligente, logique et rationnelle n'est jamais mise en place, et la pollution fait son chemin à grands pas. 
 
Devant nos yeux, les arbres meurent : dans le fond, à quoi servent-ils ? Il y a longtemps que de nombreux oiseaux ont disparu. Les poissons se font de plus en plus rares mais les permis de pêche de plus en plus chers, le gibier est élevé et domestiqué. Qui s'en plaindrait : il est plus facile à tuer de près, non ? Les cancers sont plus fréquents : quelle chance pour l'industrie pharmaceutique et les pompes funèbres. Les prix des prothèses dentaires battent de records scandaleux et de plus en plus de personnes n’ont plus les moyens de manger correctement… ! Non, à tout cela je dis non. 
 
Tout peut être résolu en quatre-cinq ans, mais attention, pas avec du bricolage mais par un travail sérieux sans craindre d'attaquer franchement les problèmes : non par la violence, mais par des mesures très incitatives (fiscalité très réduite, voire annulée) et efficaces qui risquent fort de mettre à mal les intérêts de certains profiteurs sans scrupules. Sans aucune assemblée d'étude stérile, sans dépenser un centime pour découvrir ce que chacun sait depuis longtemps, sans me prétendre un expert et sans délai, voici mes propositions pour assainir tout ça :
 
Encourager réellement la recherche réelle pour de nouvelles formes d'énergie non polluantes par des primes très incitatives aux découvreurs (de préférence aux chercheurs stériles…), avec aide financière pour exploiter leurs inventions le cas échéant. Que l'État (ou plus exactement, ses fonctionnaires) n'ait plus le monopole de l'énergie et aussi, pratiquement, celui de la recherche (CNRS). 
 
Ce genre de recherches doit être poussé au maximum, qu'importent les grincements de dents et les menaces de certaines multinationales : seul un gouvernement solide peut faire face à ces menaces, soyons celui-là, il y va de la survie de l'humanité tout entière. 
 
D'ici là, nous devons limiter les dégâts des pollueurs d'une manière réaliste et intelligente, avec fermeté s’il le faut. Ce n'est pas en supprimant l'automobile que l'on supprimera la pollution mais en adaptant intelligemment (un mot très gênant pour les décideurs d’aujourd’hui) notre réseau de circulation et le code de la route. Chacun sait qu'un véhicule consomme moins en roulant avec un moteur qui tourne à son régime qu'en sur ou sous-régime, par exemple. 
 
Cela, les routiers l'ont compris depuis longtemps, mais pas les érudits des pouvoirs publics, les limitations de vitesse en sont la preuve éclatante au même titre que leurs conseils de circulation. (Voir : Code de la route). La solution réside, en plus, dans les améliorations techniques des moteurs et leur réglage. Il est évident que de sérieuses recherches sont encore à faire dans ce domaine, en attendant de domestiquer une source d'énergie non polluante. Un autre système complémentaire sera mis en place : La SNCF transporte des voyageurs et des marchandises, mais cette société nationale est toujours déficitaire, malgré les subventions énormes dont le contribuable lui fait cadeau. Ça ne peut pas durer. 
 
La SNCF deviendra une entreprise au service de la population. Tous les Français désireux de prendre le train le feront à tarif unique, le même pour tous (principe d'égalité, fin des privilèges et des multiples variantes tarifaires), ce qui permettra de rendre le train plus accessible en diminuant les prix des billets et en rendant la société rentable (fin des profits des compagnies privées… et des frais d’entretien pour les contribuables). L'usage plus intensif du train contribuera à réduire la pollution, mais nous devons aller plus loin : faire du train un véritable service public réellement au service des usagers et adapté à notre époque. Or, ces usagers, lorsqu'ils se déplacent ont, à leur arrivée, souvent besoin de leur voiture. 
 
Qu'à cela ne tienne : Équipons la SNCF de trains de transit automobile, je m'explique : un wagon équipé pour le transport de voyageurs revient très cher et demande beaucoup d'entretien (nettoyage, etc.), sans permettre le transport d'une voiture, si ce n'est qu'à prix énorme sur un autre wagon : quel gaspillage. Voici une solution simple, peu onéreuse et pratique pour tous : le Transit Automobile. Ces trains composés de la locomotive et d'un grand nombre de wagons à deux étages, conçus pour transporter des voitures avec leurs passagers à bord (sans frais supplémentaire) sur de grandes distances feront des navettes permanentes et rapides entre les principales villes et centres touristiques de France. 
 
Chaque wagon sera équipé de deux plans de roulement sur lesquels seront immobilisées les voitures. Les passagers de ces voitures pourront se déplacer hors de leur véhicule pour accès aux toilettes installées sur chaque groupe de wagons. Les places des passagers seront celles de leur propre voiture. Un dispositif permettra, à l'arrêt, de passer en voiture d'un wagon à celui qui précède pour faciliter les chargements et déchargements des véhicules en très peu de temps. De simples rampes suffiront à ces opérations pour qu'une voiture prise en charge à Paris soit remise sur route, avec passagers et bagages, à Marseille, par exemple, 5 à 6 heures après. 
 
Pour que ces opérations soient utiles, le prix des billets devra être sensiblement égal au prix du carburant qu'aurait utilisé pour ce même trajet, un véhicule de moyenne cylindrée. Que de fatigue en moins et quelle incitation à ne pas partir avec un seul passager (le nombre de passagers n'intervenant pas dans le prix du billet, puisque le travail pour la SNCF sera le même). Bien sûr, ce ne sera pas le confort des premières classes, mais beaucoup plus rapide et moins dangereux que la même distance en voiture et la même liberté de déplacement à l'arrivée. Des centaines de trains de ce type seront construits et des milliers de vies épargnées ! 
 
Ne s'agit-il pas là d'une mesure simple, économique et efficace pour lutter contre la pollution, la fatigue, les accidents et les embouteillages ? Pourquoi attendre pour sa mise en place ? Un trafic important sera le seul moyen de rentabiliser le système, en attendant de faire mieux. La pollution industrielle est bien plus grave que les pouvoirs publics le disent. Les normes en place seront maintenues et resserrées dans certains domaines (pollution des eaux par exemple) et surtout, à faire respecter par tous. Des ententes internationales sont devenues urgentes. 
 
Avec le nucléaire, nous touchons le grand problème. La France construit des centrales un peu partout dans le monde. Nos techniciens affirment sans se faire prier qu'elles sont au point, que les mesures de sécurité sont telles qu'elles sont à l'abri de tout accident grave, etc. Quoi de plus rassurant ? Alors pourquoi ne pas continuer, l'atome n'est-il pas l'énergie du futur ?
 
Comment se comporteront ces centrales lors d'un important tremblement de terre ? Comment se comporteraient-elles en cas de sabotage ou autre action militaire ? Non, ces centrales ne sont pas à l'abri de toute catastrophe. Prétendre le contraire n'est que mensonge, continuer est criminel. 
 
L'État, car c'est bien l'État français qui est responsable (mais qui est l'État ?) et non ses hauts fonctionnaires, ou ses dirigeants plus exactement, mentent en parfaite connaissance de cause. Ces hauts fonctionnaires ont le monopole de l'énergie nucléaire : il faut y mettre un terme d'urgence ! L'énergie nucléaire est l'énergie du futur, oui, je le pense aussi, mais à condition de la maîtriser. Or, les techniques de ces messieurs les savants-fonctionnaires sont mauvaises et très dangereuses : les accidents ne sont pas rares et ils le savent… Mais ils n’en parlent pas ! 
 
Ces spécialistes du nucléaire sont de dangereux apprentis sorciers. Nous savons que le thermonucléaire est le plus grand danger pour l'humanité et nous savons que ces spécialistes sont incapables d'en maîtriser les réactions en cas de problème grave. Cela doit changer. Russes et Américains l'ont compris, par la force des choses après les accidents que nous connaissons. Depuis, leur politique nucléaire s'est modifiée. Les constructions de certaines centrales ont été abandonnées. 
 
Messieurs les Hauts Fonctionnaires Français ont, selon eux, tout prévu. Je ne suis pas convaincu et souhaite que des millions de personnes ne payent pas de leur vie de telles erreurs cachées par prétention d'infaillibilité, car c'est bien cela qui risque de se produire si nous les laissons continuer. Que deviendrait la centrale du Bugey (dans l'Ain) si un tremblement de terre la secouait franchement ? Pensez-vous que le béton-armé, aussi épais soit-il, neutraliserait un séisme de forte magnitude ? Observez un peu la puissance dévastatrice de ces phénomènes : qui oserait encore prétendre qu'il n'y a aucun risque, que tout a été prévu : la centrale du Bugey est située en plein sur une zone à haut risque sismique, les secousses enregistrées dans la région sont fréquentes (proximité du bassin lémanique) : des millions de personnes risquent d'y laisser leur vie, vous le savez aussi bien que moi ! Et malgré ça, les élus laissent tous les pouvoirs à ces hauts-fonctionnaires-décideurs ! 
 
Si le Rassemblement Pour la Liberté est mis en place, Ces pouvoirs quasi absolus leurs seront retirés et tout sera fait pour le remplacement de ces foyers de danger permanent pour l'humanité : nul ne peut prévoir les séismes ni leurs amplitudes : imaginez un peu la poussée d'un séisme de grande amplitude sous l'une de ces glorieuses centrales : combien y survivraient et dans quel état ? Avant la mise en place de nouvelles énergies, nous devons utiliser au maximum l'énergie de la nature (les éoliennes ne sont pas la bonne solution), les marées (le barrage de la Rance fonctionne très bien, sans polluer), les cours d'eau et toutes autres formes d'énergie naturelle (solaire, géothermique, etc.), nous ne sommes pas sans ressources. C'est cette politique énergétique que nous devons développer d'urgence. Créer des centrales nucléaires reposant sur des cylindres d’acier, à l’image des immeubles anti-séisme de San-Francisco (ville aux tremblements de terre fréquents) doit être possible, des études sérieuses sont à effectuer dans ce sens, tout en limitant la taille de chacune d’elles.
 
D'autres mesures seront prises, telles que l'interdiction des aérosols qui dénaturent la couche d'ozone. Les vaporisateurs à main ou électriques font merveille : Pourquoi ne pas les utiliser ? 
 
Si nous parlons de la protection de la nature, nous devons aborder un sujet très important : l'urbanisme. Les grands ensembles ont fait la fortune de plus d'un promoteur, et permis de gagner de la place sur le terrain, mais correspondent-ils réellement aux besoins de l'homme. Je ne le pense pas. 80 % des Français passe 75 % de leur temps en ville ! Quelle erreur monumentale, bien qu'elles se retrouvent dans le Monde entier : 34 villes de plus de 5 millions d'habitants, dont 22 dans le tiers monde. Elles n'étaient que 5 en 1950 (New-York, Londres, Paris, Shangaï Buenos-Aires, le Complexe Rhin-Ruhr et Tokyo-Yokohama, en 1934, seul New-York les dépassait). Ces cités géantes sont une erreur : Chacun a besoin de pouvoir se retrouver chez lui, de faire ce qui lui plait, d'échapper un peu aux contraintes sociales. La vie en promiscuité des grands ensembles interdit cette retraite indispensable à son équilibre général. 
 
Ce manque d'affirmation personnelle entraîne tout un ensemble de conséquences qui va de la petite dépression nerveuse au divorce en passant par la neurasthénie, psychasthénie, mélancolie, fatigue généralisée, insomnie, migraine, dépression grave, cancer, problèmes de voisinage, racisme, délinquance, agressivité, fugues, suicides, etc. Il est grand temps de changer d'orientation en matière d'urbanisme.
 
Ne démolissons pas tout, nous devons nous orienter vers une politique de construction plus humaine, tout en décentralisant. C'est possible, les régions quasi inhabitées en France ne manquent pas. Nous devons tout faire pour encourager les constructions de maisons individuelles, plus conformes à l'esprit individualiste qu'est le nôtre en France. Mais attention aux Requins que sont des dizaines de promoteurs sans scrupules : leurs jours de gloire seront terminés, plusieurs mesures seront prises :
 
Pour mettre un terme à de nombreux incendies de forêts : interdiction de construire, pendant une durée de 30 ans, sur tout terrain ayant été victime des flammes (je n'accuse personne je prévois, sic).
 La pratique des dessous de table deviendra impossible, car tous les règlements dans l'immobilier seront faits par l'entremise des perceptions, sans frais : ce sont elles qui régleront directement les entrepreneurs, ceci pour éviter les nombreux impayés qui ont vite fait de mettre une entreprise en faillite, ce que nous connaissons aujourd'hui (je rappelle que les impôts sur le revenu seront abolis, donc plus la peine de jouer à cache-cache avec le fisc. Nous pourrons enfin travailler librement).
Finie la multitude de frais annexes qui vient gonfler les factures sans aucune raison logique (plus d'acte notarié obligatoire, les enregistrements des ventes et achats d'immobiliers pourront se faire directement, sans intermédiaire, auprès de l’administration de l'aménagement du territoire crée à cet effet et dont les services seront gratuits, mais passer par les services d’un notaire restera possible, sans être obligatoires).
Finie aussi la mendicité auprès des organismes actuels (mairie, équipement, caisse de ceci ou caisse de cela, etc.) pour obtenir un permis de construire ou un prêt. Une loi précise, simple, stipulera les deux à la fois : si l'accord est donné pour l'un, l'autre sera automatique. Les impératifs à respecter seront simples : respecter le style d'architecture locale, les normes d'hygiène, de l'environnement et avoir de quoi financer les travaux : le ministère de l’Aménagement du territoire aura pouvoir de vous assurer des prêts sans que vous ayez à pleurer de banque en banque. De toute façon, toutes les opérations de construction seront financées par les perceptions : ceci pour de simples raisons de simplification et d'économie, les perceptions seront réellement au service de la population et non plus de simples tiroirs-caisses inhumains, sans oublier que les fonctionnaires toucheront un intéressement sur leur travail : vous n'aurez plus à les réveiller avant qu'ils fassent attention à vous Ces mesures, en plus, mettront fin aux multitudes impayés qui mettent en faillite de nombreuses petites entreprises du bâtiment.
 
 Reste encore à traiter dans ce chapitre, les problèmes de la vie animale. Ce n'est pas l'un des moins importants, l'équilibre naturel est compromis, nous devons le rétablir. Je n'apprendrai rien à personne en disant que le nombre d'espèces animales qui disparaissent ne cesse de s'accroître. A ce sujet, ce ne sera plus aux sociétés de chasse qu’il appartiendra de veiller à la protection de la faune (étrange choix de Macron !). Il y a vraiment de quoi être surpris ! Les chasseurs ne se contentent pas de tuer des animaux. La loi leur a en effet confié des missions de service public, comme l'organisation de la chasse, l'installation de clôtures protectrices ou encore la préservation de l’habitat de la faune sauvage. En échange, les fédérations reçoivent des financements de l’État qui sont en très fortes augmentations ces dernières années, ceci explique peut-être cela. 
Le problème, c’est que les montants accordés et leur utilisation ne seraient pas justifiés, d’après un rapport de la Cour des comptes. L’enquête avait été lancée à l’été 2022 à la demande du collectif “Un jour un chasseur", créé après la mort accidentelle du jeune Morgan Kean en 2020.
Ce sont en fait des dizaines de millions d’euros versés chaque année : La Fédération nationale des chasseurs (FNC) perçoit 9 millions d’euros par an depuis la réforme de la chasse de 2019. Ce sera le cas jusqu’en 2024. Il s’agit d’une compensation pour gérer les plans de chasse et les associations communales de chasse agréées. Sur ce total, 6,9 millions sont versés directement aux fédérations départementales. Mais sans justification des coûts, relève la Cour des comptes, alors que cela était pourtant prévu par la loi.
 
D’autres subventions sont versées par l’État aux fédérations nationale, régionales et départementales. Limitées, elles se sont élevées à 600 000 euros en 2021. Il y a aussi des aides plus conséquentes distribuées par les collectivités locales, dont le montant a atteint 6,1 millions d’euros, également en 2021. En décembre 2022 enfin, des crédits supplémentaires ont permis d’engager 18,6 millions d’euros au profit des fédérations départementales, pour aider à indemniser les agriculteurs victimes des dégâts du grand gibier.
 
Pour en terminer, l’État a promis en début d’année (2023) de verser 60 millions d’euros supplémentaires sur trois ans au réseau fédéral des chasseurs, pour réduire encore plus efficacement les dégâts du grand gibier. Ce qui fait s’étrangler la Cour des comptes. “Cet engagement a été pris sans analyse préalable de la situation financière des fédérations de chasseurs, qui n’est pas menacée à court terme, et sans mesure de contrôle de l’efficience et de l’efficacité de leurs actions”, peut-on lire dans le rapport.
 
En tuant des animaux parmi les 58 espèces autorisées, les chasseurs sont censés contenir leur prolifération et ainsi maintenir un équilibre entre le gibier, la biodiversité et les activités humaines. Mais les résultats de ces prélèvements seraient insuffisamment documentés. La Cour des comptes reproche aussi à l’État d’avoir abandonné le cadrage de ces données. Et demande que l’on donne davantage de moyens et de pouvoir aux agents de l’Office Français de la Biodiversité (OFB) pour les contrôler. Il restera encore aux fédérations de chasseurs à rendre compte de leurs actions. En publiant, par exemple, des rapports moraux, de leurs comptes, des rapports du commissaire aux comptes et les procès-verbaux des assemblées générales. La cour des comptes est toujours dans l’attente !
Il convient, je crois, de rappeler un record de hausse des subventions accordées par le gouvernement Macron. Depuis 2017, les subventions accordées aux chasseurs ont augmenté de 23.000 %, oui, il n’y a pas d’erreur, c’est bien de vingt-trois mille pour cent !
 
Lorsque nous parlons de faire de la lutte contre le gaspillage, je crois que dans ce domaine ce ne sera pas un luxe. Précisons que nous renforcerons les effectifs de la cour des comptes tout en lui donnant un pouvoir de police pour neutraliser fermement les fraudes et autres abus. Il faut reconnaître que, dans ce domaine, de nombreux mouvements écologistes ont permis de sauver bien des espèces d’animaux, ce dont nous ne pouvons que les féliciter, mais ce n'est pas suffisant. Nous devons accroître ces protections par des lois, en France même, puis, par des accords internationaux. 
 
En France : la chimie est responsable, avec la complicité des services vétérinaires et des agriculteurs de l’état actuel d'appauvrissement de la faune animale. Ne vous y trompez pas, si de nombreux agriculteurs aiment les bêtes, une très large proportion ne voient en elles qu'un moyen de rapport : Faire de l'argent à tout prix fait de certaines personnes des fauves aveugles, sans sentiment ni raison : tels ces bergers landais qui vendent leurs chiens, après 8 ou 10 ans de bons services, à des laboratoires pour être livrés à la vivisection, tels ces nombreux vétérinaires, censés protéger la vie des animaux et qui se livrent systématiquement ou presque à l'euthanasie : ce sont 100 à 300 € faciles à gagner alors qu'une intervention chirurgicale aurait peut-être demandé une heure de travail beaucoup moins rentable et plus fatiguant, peut-être... 
 
Attention à cette multitude d'associations qui prétendent défendre les animaux et qui sillonnent les rues, avec la complicité de quelques municipalités, à bord des véhicules portant des appellations comme : « FOURRIERE de la SPA », etc. qui vont ramasser des chiens et des chats. Qu'en font-ils ? Expliquez-moi comment certains de ces bénévoles peuvent mener grand train de vie en ne faisant rien d'autre ? Pourquoi les propriétaires victimes de ces trafics ont le plus grand mal à arriver aux tribunaux (plaintes classées sans suite en cas de vols de leur part) ? Je souhaiterais obtenir des réponses convaincantes sur ces sujets... 
 
Voyons un peu du côté des laboratoires où se pratique la vivisection : saviez-vous par exemple que ces malheureux chiens sont payés entre 150 et 500 € aux trafiquants de tout poil (animaux souvent volés) ? Seule la Suisse a eu le courage de prendre des mesures contre ces pratiques, mais elles sont encore insuffisantes. Des milliers d'animaux sont sacrifiés chaque année, par simple curiosité « scientifique », ou pour faire des parfums par exemple (les laboratoires des produits de « beauté « en sont les plus grands consommateurs). Ces pauvres bêtes meurent dans des souffrances atroces, la télévision française a enfin osé montrer quelques exemples des expériences réalisées par ces « scientifiques », qui auraient pu, sans forcer leur talent, faire d'excellents bourreaux pour les tortures de la sinistre gestapo. 
 
La morphologie, le métabolisme et la psychologie humaine n'ont rien à voir avec chaque espèce animale, donc ces expériences barbares répétées des millions de fois seront interdites en France avec le R.P.L.. Nous disposons de moyens d'étude plus puissants et moins barbares ! Que ces « écorcheurs » apprennent à réfléchir et à se servir d'un ordinateur ou d'un scanner et la science progressera plus vite sans se couvrir de honte. 
 
En chirurgie, nous ne sommes plus au Moyen Age, chaque faculté dispose de squelettes et de documentation filmée, alors ? Un peu de sens humain, si j'ose encore le dire, un peu de bonté, de gentillesse et de compréhension et des millions de bêtes qui ne demandent qu'à nous aimer seront sauvées. 
 
Il existera toujours des esprits sadiques et des criminels, quelque soient par ailleurs leurs niveaux d’instruction : Ne nous faisons pas leurs complices. Interdire la vivisection, l'euthanasie des bêtes errantes même si elles n'ont pas la chance d'être tatouées par des maîtres irresponsables, avant un minimum de 3 ou 4 mois, pour leurs donner une chance d'être adoptées, sans que, profitant de la situation, certaines associations se prétendant protectrices de animaux trouvent encore moyen d’en faire un commerce… sous couvert de « leurs frais engagés », oubliant de déduire les montants des subventions perçues pour en faire les calculs et les « justifier », tout en se prétendant « bénévoles ». Il est vrai aussi que certaines associations, comme celle de Brigitte Bardot, viennent aussi fréquemment en aide à de petites associations sérieuses qui pratiquent réellement le bénévolat et une réelle protection animale. 
 
Pour le R.P.L., ce sera à l’État de prendre en charge la protection animale et de faire respecter leur bien-être. Le piégeage des animaux par les sociétés qui prétendent les protéger et les sociétés de chasse sera interdit. 
 
Ouvrir des parcs naturels dans chaque région de France pour que la faune régionale ne disparaisse pas. Des efforts ont déjà été faits en ce sens, mais c'est insuffisant. Ces parcs seront aménagés pour que l'homme lui-même puisse enfin se retrouver dans la vraie nature, loin de ses soucis. Vivre en paix avec soi-même et en harmonie avec la nature en respectant tous ses composants constituent l'un des principaux buts du R.P.L. Des mesures très fermes seront prises sans autre avis que celui des électeurs qui partageront nos convictions. Sur le plan international, tout sera fait pour inciter les autres pays à faire de même... mais ce sera beaucoup plus long et plus difficile. Seul notre exemple pourra convaincre, peut-être...


Attention au lait !

 Boire du lait tous les jours, est-ce dangereux pour la santé ? Les ventes de lait baissent en France d’une année à l’autre, depuis 10 ans. Les Français sont les plus petits consommateurs de lait d’Europe, derrière l’Allemagne et l’Angleterre ! 
Grâce au remarquable travail de journalistes scientifiques comme Thierry Souccar (auteur de Lait, mensonges et propagande), il commence à se savoir que :
le lait ne fortifie pas le squelette, n’empêche pas les fractures ; le calcium du lait est mal assimilé. Mieux vaut pour les os manger des légumes, riches en potassium et en calcium assimilable ; et surtout, les légumes sont basifiants (le contraire d’acidifiants), ce qui est bon pour le squelette et préserve les minéraux des os et des muscles ;
le lait est mal toléré par la majorité de la population, qui digère mal le lactose (sucre du lait), entraînant maux de tête, porosité intestinale, problèmes digestifs ;
le lait favorise les allergies ;
le lait augmenterait même un peu le risque de cancer de la prostate, des ovaires et, peut-être, du sein, sans doute à cause des hormones et des facteurs de croissance
 
En cas d’asthme, d’eczéma, de mal de tête, de problèmes digestifs, d’acné, de sautes d’humeur, les premiers produits qu’on supprime sont… le lait et les produits laitiers, à égalité avec le gluten. Bref, le mythe des trois produits laitiers par jour s’effondre.
 
La fin du mythe des trois produits laitiers par jour : Il est certain que pour notre santé, il est préférable de manger des fruits et légumes que d’absorber chaque jour deux ou trois produits laitiers, comme le préconise la propagande en faveur du lobby du lait : elle ne repose sur aucune base scientifique. Les Autorités de santé françaises continuent toutefois à préconiser quatre produits laitiers par jour pour les enfants, les adolescents et les personnes âgées Si par exemple, nous considérons la Finlande, premier consommateur de lait au monde, elle détient le record du diabète de type 1. 
Ancien lait contre nouveau lait : Tout dépend, en réalité, du type de lait que vous consommez. Le lait que l’on trouve sur des palettes dans les supermarchés n’a plus rien à voir avec le lait cru du pis de la vache de vos grands-parents (ou arrière-grands-parents !). Ce lait est un produit mort et dénaturé, et ce pour ces raisons :
 
1) les espèces de vaches ont été sélectionnées à l’extrême pour aboutir à des vaches déformées physiologiquement pour produire 40 à 50 litres de lait par jour, contre 4 litres seulement à l’état normal. Cette ultra-productivité s’accompagne d’un appauvrissement de la qualité nutritionnelle ;
2) le fourrage : la France en importe du Brésil ou d’Argentine, où les pratiques agricoles ne sont pas contrôlées comme en Europe (OGM, pesticides, etc., dans les fourrages) 
3) l’élevage en batterie, qui stresse les animaux, limite leurs mouvements, favorise les contagions et donc la médication, notamment les antibiotiques ;
4) la pratique de la traite de vaches en gestation fait que le lait contient plus d’hormones femelles, ce qui peut perturber le métabolisme des femmes, tout comme celui des hommes (ce qui ne se faisait pas dans le temps) ;
5) le traitement UHT consiste à chauffer le lait à 150 °C pendant 3 secondes : Il détruit les enzymes ainsi que la plupart des vitamines ;
6) l’homogénéisation du lait, procédé consistant à faire éclater les globules de matière grasse dans le lait, change sa texture ;
7) le filtrage, pour récupérer et vendre à part la crème du lait et le beurre, appauvrit le lait, qui est présenté sous l’appellation demi-écrémé ou écrémé et considéré à tort par les consommateurs comme meilleur pour la santé. 
 
En Suisse, il est interdit par la loi d’appeler lait le liquide blanc aqueux et pauvre en vitamines présenté dans d’autres pays par l’agro-industrie comme du lait demi-écrémé UHT Il est donc écrit Drink sur l’emballage, ce qui veut simplement dire boisson
Conclusion : il y a lieu de se méfier du lait UHT comme de tout autre produit hautement transformé.
 
En dépit de tout ça, ceux qui font partie des rares privilégiés à avoir près de chez eux un véritable pâturage avec une vache appartenant à une espèce ancienne, non traitée aux antibiotiques, vivant de façon traditionnelle, broutant de l’herbe naturelle, le lait qu’elle vous donnera aura des qualités nutritives qui ne pourront que vous être bénéfique : Il est vivement conseillé de ne boire que du lait cru, non homogénéisé, et surtout pas traité UHT.
 
La baisse de la consommation de lait en France n’est-elle pas aussi liée à la déstructuration des modes et rythmes de vie. Comme aux États-Unis, la population française perd l’habitude de faire de vrais repas, grignote, mange à toute heure du jour et de la nuit, une déstructuration touche en particulier les enfants. En effet, plutôt qu’un vrai petit-déjeuner, les parents leurs donnent des biscuits, une Pom’Potes ou une petite bouteille de lait aromatisé, avalés dans la voiture, pour se rendre à l’école. Ce qui n’est pas vraiment une bonne nouvelle pour leur santé et les futurs problèmes de surpoids et de diabète. 
 
Pour toutes ces raisons, les conseils que donneront les naturopathes, discipline médicale qui sera enfin reconnue en France (interdite aujourd’hui et non enseignée en faculté de médecine, obligeant les médecins sérieux à se rendre à l’étranger pour se perfectionner, mais sans être autorisés à la pratiquer en France…). Il est de ce fait certain que la santé de l’ensemble de la population sera sérieusement améliorée… et la vente des médicaments en chute libre, probablement de 80 % en moins. Les pharmacies, en contrepartie, vendrons de nombreux compléments alimentaires naturels, au détriment de l’industrie des drogues pharmacologiques qui font la fortune de quelques milliers de multimilliardaires dans le monde, communément appelé big pharma, très corrupteurs de politicards et du Monde médical et responsables de millions de morts à travers le Monde !

Écologie
Le terme écologie (du grec oikos, demeure, et logos, science) a été proposé par Ernst Haeckel en 1866 pour désigner la science qui étudie les rapports entre les organismes et le milieu où ils vivent. Cette définition reste encore valable, mais elle demande à être approfondie et précisée, car elle est trop générale. Pour la situer par rapport aux autres sciences biologiques, il est commode de considérer les divers niveaux d'organisation de la matière vivante. 
 
 Le système le plus simple ayant toutes les caractéristiques fondamentales des êtres vivants est la cellule. Des cellules, associées en tissus et en organes, sont intégrées en organismes pluricellulaires, animaux ou végétaux.
À un niveau d'intégration supérieur, les individus de certaines espèces peuvent constituer des colonies, comme chez les cœlentérés, ou des sociétés, comme chez les termites, les fourmis et les abeilles. À un niveau encore plus élevé se place, pour tous les êtres vivants, la population, ensemble des individus d'une même espèce liés entre eux par des liens parentaux, c'est-à-dire génétiques ; selon que la reproduction est sexuée ou non, ces liens sont évidemment différents.
Les populations des diverses espèces (bactériennes, végétales, animales) groupées en un lieu déterminé forment un niveau d'organisation plus complexe encore, la communauté biologique ou biocénose ; le milieu physique et chimique où celle-ci est installée est souvent appelé biotope et leur ensemble est un écosystème. Le niveau ultime d'organisation du monde vivant est constitué par l'ensemble des écosystèmes de la planète, c'est-à-dire la biosphère.
La structure et le fonctionnement des cellules constituent l'objet de la cytologie et de la physiologie cellulaire ; la structure et le fonctionnement des êtres pluricellulaires concernent l'histologie, l'anatomie et la physiologie des organismes. L'écologie a donc pour objet essentiel l'étude des niveaux supérieurs d'organisation de la matière vivante, de la population monospécifique à l'écosystème et à la biosphère : comme pour les niveaux inférieurs, mais cette fois à l'échelle de systèmes particulièrement complexes, il s'agit de décrire des structures, de comprendre des fonctionnements et de reconstituer des évolutions. On ne peut toutefois saisir les phénomènes jouant à un certain niveau d'intégration sans connaître ceux qui interviennent aux niveaux inférieurs : de même que l'organisation des écosystèmes ne peut être comprise qu'en tenant compte du fonctionnement des populations, celui-ci ne peut l'être sans référence aux relations que chaque individu entretient avec le milieu.
Ces relations entre les individus d'une même espèce et le milieu où ils vivent constitue le domaine de l'écologie des populations (autrefois appelée autoécologie). Elles concernent à la fois les individus, pour eux-mêmes, et les populations qu'ils forment. Dans cette perspective, le milieu est conçu comme un ensemble de facteurs dont on distingue deux types : les facteurs abiotiques, liés au milieu physique et chimique, et les facteurs biotiques, liés aux êtres vivants présents dans l'écosystème étudié.
 
L'écologie des communautés (autrefois appelée synécologie ou biocénotique) envisage essentiellement la structure et le fonctionnement des écosystèmes, mais son champ s'étend également aux complexes d'écosystèmes, associés par exemple dans un même bassin versant, et finalement à la biosphère.
Discipline biologique, l'écologie ne se contente pas de décrire des structures et d'analyser des fonctionnements : elle tente de les interpréter dans une optique évolutionniste et doit considérer les systèmes qu'elle étudie (populations, écosystèmes) à différentes échelles de temps.
L'écologie pourrait alors être définie comme l'étude des interactions déterminant la distribution et l'abondance des êtres vivants dans la biosphère. Elle est ainsi une véritable biologie de la nature, à la fois analytique et synthétique. Son originalité, par rapport aux autres sciences de la vie, tient au niveau d'intégration élevé de ses objets d'étude, ce qui lui impose des méthodes particulières. Il existe cependant des liens très étroits entre l'écologie d'une part, et la physiologie des organismes, d'autre part, les disciplines abordant les problèmes d'évolution (génétique des populations et biogéographie notamment).
Si l'étude des relations de l'homme avec son environnement déborde le cadre de l'écologie ainsi définie, celle-ci n'en est pas moins indispensable à la compréhension de ces relations : la connaissance du fonctionnement des systèmes écologiques et des mécanismes assurant leur stabilité fournit en effet les fondements d'une gestion rationnelle et intégrée des écosystèmes. La place croissante de l'homme dans la biosphère rend cette gestion plus difficile et des contraintes écologiques pourraient limiter l'extension des hommes et de leurs consommations. Alors que l'écologie politique analyse les conséquences pour les sociétés de telles contraintes, les mouvements écologistes considèrent que des limites écologiques sont atteintes, voire dépassées. Pour Le R.P.L. ; il sera très important de respecter les lois de la nature, à tel point que ce respect sera pour nous, un principe constitutionnel.
 
La véritable écologie caractérise un mode de vie, non un concept politique. Chacun a pu constater que les leaders des verts, comme ils se qualifient eux-mêmes, sont avant tout des antitout. Ils s'appuient sur des concepts valables, mais je ne peux pas faire confiance à des gens qui ne parlent pas franchement de leur coloration politique, généralement d’extrême gauche… trompant ainsi des milliers de personnes qui sont réellement écologiques, au sens noble du terme !
 
Leurs principes n'apportent que des demi-mesures à l'image de leurs leaders. L’écologie concerne avant tout la vie de la nature, pour être protégée elle n'a pas besoin de théories sans suite mais d'une politique générale ferme et réaliste. Encore faut-il savoir ce que l'on veut. 
 
Tout détruire ? Non, ce serait ridicule et dangereux. Ce qu'il nous faut, c'est fixer les buts à atteindre avec précision et voir ensuite avec quels moyens atteindre nos buts pour protéger la nature, et cela sans violence ni insulte, mais simplement par des explications sérieuses et amicales, vu que le but est censé être le même ; Protéger la nature par des modes de vie plus sains, plus naturels ! 
 
Voyons, en premier, les buts à atteindre. Partant du principe que l'on ne peut commander à la nature qu'en lui obéissant, nous devons commencer par bien observer si cette loi est juste. Avant de voir les grands problèmes mondiaux (nous reviendrons sur ce sujet), commençons par nous-mêmes en attirant notre attention sur ce qu'aucun militant écologiste n'a osé faire : l'intoxication médicamenteuse. 
 
Nous savons tous qu'une substance nocive est dangereuse pour l'individu en bonne santé. Qu'en est-il pour l'individu déjà affaibli par la maladie ? Depuis plus de 60 ans, je mène des recherches sur ces sujets, tant sur le plan psychologique que médical. Mes conférences m'ont permis de rencontrer de nombreux chercheurs passionnés comme moi, mais lucides, qui partagent mes convictions. 
Observer, chacun peut le faire autour de lui, si ce n'est sur lui-même. Nous connaissons tous des gens qui entretiennent chez eux de véritables pharmacies : telle pilule pour dormir, telle autre pour tenir éveillé, celle-ci encore pour un petit mal de tête, sans oublier celle-là pour les brûlures d'estomac qui en résulteront, etc. 
 
C'est ainsi, la publicité aidant, que la France est devenue le pays où la consommation médicamenteuse est la plus forte du Monde avec les USA ! Triste record. En France, trouver un bon médecin généraliste devient de plus en plus difficile, surtout parmi les jeunes : Leur formation est essentiellement axée sur la pharmacologie. De plus en plus, les médecins deviennent de simples pourvoyeurs de drogues, aidé d’un ordinateur pour écrire les ordonnances… avec les produits placés en mémoire par l’industrie pharmacologique avec tous les dangers que cela comporte. Un Diplôme de Doctorat en médecine ne suffit pas à faire un bon médecin si ce n'est pour les industriels de l'industrie pharmaceutique (qui subventionnent volontiers les facultés de médecine, comme par hasard), communément appelé big-pharma.
 
Je ne parlerai pas de l'affaire Rika Zaraï, dans les années 80, certains journalistes intellos l’avaient tourné en dérision, mais cette affaire permet d'illustrer l'asservissement du Monde médical par l'industrie pharmaceutique. Peu de personnes ont le courage et les moyens de dénoncer les profits colossaux réalisés sur le dos des malades, avec la complicité de nombreux élus et, ne l'oublions surtout pas, de la Sécurité Sociale, devenue un véritable État dans l’État, que nous supprimerons pour mettre fin à un gaspillage monumental ! Il convient de préciser que depuis près de 50 ans, que les choses n’ont fait que s’aggraver.
 
Oui, cette intoxication quotidienne de millions de personnes n'a jamais troublé le sommeil des leaders écologistes qui se veulent des apôtres de la vie naturelle, sauf quelques exceptions, mais pas au plus haut niveau. Nous sommes partisans de la liberté médicale et pour la suppression des aides aux caisses de Sécurité Sociale (caisses privées) et de l’obligation d’y adhérer. Pour neutraliser ce dangereux gaspillage, un service social gratuit pour tous nos ressortissants sera mis en place. 
 
Avec le R.P.L., chacun sera libre de choisir son médecin et son mode thérapeutique (allopathie, imposer aujourd’hui, ou naturopathie, ou médecine psychosomatique naturelle, acuponcture, voire d’autres disciplines qui satisferont à un contrôle sanitaire pour neutraliser le charlatanisme, que l’on rencontre aussi chez de nombreux médecins diplômés !). D’autres modes de protection seront également possibles : un choix de protections supplémentaires existe, celles de l’État ne concerneront que les soins à caractère thérapeutique, qu’ils soient allopathiques (*) ou naturels. 

*) allopathie : du grec ἄλλος, állos, « autre », « différent » et πάϑος, páthos, « souffrance ») est un concept utilisé par les tenants des médecines naturelles pour désigner la médecine conventionnelle (officielle en France). En particulier le terme est utilisé par les homéopathes pour désigner un ensemble de pratiques thérapeutiques ne reposant pas sur le principe de l'homéopathie, 
 
Comme nous allons le voir dans les pages suivantes, nos interventions pour la protection de la nature ne se limiteront pas aux problèmes de la médecine, l’agriculture sera très concernée par une politique fiscale très incitative, il en ira de même sur le plan industriel et au niveau des modes de circulation, et ce tout en laissant un maximum de liberté à chacun, c’est sur ce point que nous sommes en totale opposition face aux conceptions de l’écologie politique, plus prompte à imposer autoritairement ses conceptions que de les inciter en douceur dans un climat de liberté et de paix, à nos yeux, plus facile à accepter !
 
Petit aperçu de l’intelligence des écologistes et de toute la macronie convaincue de dépolluer la planète en imposant les voitures électriques ! Jugez-vous-même : 
Ce petit véhicule de chantier est un CAT994 A.
 Il brûle environ 1000 litres de carburant en 12 heures, déplace environ 250 tonnes de saletés pour extraire les matériaux nécessaires à produire UNE seule batterie Tesla.

Pour fabriquer chaque batterie, il faut traiter :
- 12 tonnes de saumure pour le lithium,
- 15 tonnes de minerai pour le cobalt
- 3 tonnes de minerai pour le nickel,
- 12 tonnes de minerai pour le cuivre
Et déplacer 250 tonnes de la croûte terrestre.
 
Pour juste - une - batterie, qui comporte environ :
- 12 kg de lithium
- 30 kg de nickel
- 22 kg de manganèse
- 15 kg de cobalt
- 100 kg de cuivre
- 200 kg d'aluminium, d'acier et de plastique
 
Et les gens croient encore à zéro émission lorsqu'ils conduisent leur voiture électrique., et on n’a pas abordé le recyclage Mais, ça va bien se passer !

Inutile je crois, de préciser que le R.P.L. mettra fin à ce scandale écologique ! Pour une bonne leçon aux politiques-écologistes, cliquer ici !


Choix de son médecin
Cette liberté laissée à chacun de choisir son médecin et son mode thérapeutique sera très importante. Il est probable que les médecines naturelles auront vite fait de reléguer la médecine allopathique actuelle en médecine d’appoint. Si les méthodes naturelles sont de plus en plus demandées, ce n’est pas le simple fait du hasard ni de mode.
 
La médecine psychosomatique naturelle, telle que l’enseignait le Professeur André Passebecq, par ses méthodes de soins naturels, prenant en considération les caractéristiques psychologiques propres à chaque patient, sans recours aux médicaments aura sa place en France. Je pense qu'elle s‘imposera rapidement, auprès des malades, en remplacement la médecine symptomatique (médecine officielle actuelle, entièrement basée sur un pasteurisme de plus en décrié… mais une poule aux œufs d’or pour les laboratoires). 
 
D'autres personnes sont également aptes à soigner par des techniques différentes : les guérisseurs. Comment ? Scientifiquement, aucune explication logique ou scientifique ne peut être encore apportée, mais il est vrai que la science officielle, institution ultra cartésienne s'il en est, n'est guère en avance, de plus, elle a commis de très nombreuses erreurs (plus de 50.000 morts officialisés en France chaque année du fait de ses exploits et surtout de son intolérance et des prétentions, de plus de la moitié des médecins allopathes de se croire infaillibles !). 
 
Avec plus de modestie, d'humilité, de tolérance, et surtout de sens humain et d’intelligence, les progrès seraient plus réels dans ce domaine. En résumé, nous disons oui à la liberté médicale et aux méthodes de soins naturels et non aux obligations d'actes médicaux (comme les vaccinations). Aucun monopole ne sera toléré, pas plus dans ce domaine qu'ailleurs. 
 
C'est par la qualité des soins apportés que chaque praticien se distinguera, mais les patients resteront libres de choisir. Les soins à caractère thérapeutiques seront payés directement aux praticiens par l'État. Bien entendu, cette gratuité ne sera pas étendue à tous les charlatans (nous en connaissons tous : environ 95 % des guérisseurs qui ont pignon sur rue). Leurs réussites sont dues pour une grande part aux échecs de la médecine officielle. L'ouverture aux techniques médicales telles que la médecine psychosomatique naturelle (très peu connue en France), la nutrithérapie, l'ostéopathie, etc. (enseignées dans de nombreuses facultés hors de France), modifiera enfin les données. 
 
Les guérisseurs sérieux (il en existe, c'est certain) auront leurs honoraires payés par l'État, mais pas avant d'avoir fait leurs preuves, sur une durée de 6-7 ans (durée sensiblement égale à la formation d’un médecin qui sera raccourcie, ramenée à 6-8 ans au lieu de 10 –12 ans aujourd’hui). 
 
Pour tous les praticiens, obligation leur sera faite de préciser, à l'entrée de leur cabinet, leur formation ou diplômes. Seuls les praticiens diplômés seront habilités à ordonner des médicaments chimiques, comme aujourd’hui. Chacun sera enfin libre de choisir son mode thérapeutique, celui qui sera le plus conforme à sa nature personnelle et à ses convictions (facteur important de guérison !). 
 
Attention, si les constats d'échec ne manquent pas pour la médecine, la chirurgie quant à elle a fait d'énormes progrès et il sera hors de question de laisser un guérisseur opérer qui que ce soit. Néanmoins, les « professeurs de politiques », ou « Médecins de télévision », si vous préférez, ne pourront plus faire le jeu de l’industrie pharmaceutique : Il ne sera plus possible de confondre santé et finances (le R.P.L. mènera une lutte très ferme contre toutes les formes de corruption, aussi bien financières que politiques).

Fin de la dictature 
De plus en plus, nous parlons de la dictature du fonctionnariat : Le R.P.L. mettra un terme à la dictature des hauts fonctionnaires (votre facteur ou votre instituteur ne font pas partie de cette caste assoiffée de pouvoirs : voyez leurs salaires ridicules par rapport à ceux de leurs grands chefs) ! 
Quoique nous fassions, il nous faut demander l’autorisation des fonctionnaires, et ceci est également vrai pour les élus : un maire par exemple ne peut plus gérer sa commune comme il l’avait prévu dans son programme électoral, il trouvera toujours un préfet ou un autre irresponsable de « haut niveau », comme ils disent, pour lui mettre des bâtons dans les roues
Prenons un exemple. Remontons à 2013, le projet de budget présenté par le gouvernement Hollande est conforme à la logique mortifère du pouvoir socialiste : faire périrent les entreprises pour que vivent les fonctionnaires. Hollande n’a oublié qu’une chose : quand les entreprises meurent, les fonctionnaires finissent par maigrir. Jusqu’au moment où, comme on l’a vu en Grèce et en Espagne, ils ne sont plus payés. Ce budget avait au moins le mérite d’afficher aux yeux de tous les véritables données du problème français. Notre pays est dirigé par ses fonctionnaires et à leurs profits exclusifs. Ils dominaient la présidence de la République, le gouvernement, l’Assemblée nationale, le Sénat, les régions, les départements et les communes. 
Cette conquête totale s’est faite en une cinquantaine d’années, ces cinquante piteuses qui ont vu l’économie française s’effondrer progressivement sous le poids des impôts, des charges et des règlements que lui assenaient des majorités politiques différentes mais unies dans leur détermination à maintenir et à développer le socialisme, selon les directives secrètes de leurs loges respectives. Il était logique qu’au terme de ce tragique parcours, des personnalités socialistes fussent en poste partout.
Mais voilà : ce triomphe complet est aussi le clap de fin. Un pays moderne ne peut pas survivre en étant ainsi gouverné. Les événements graves qui s’annoncent vont renverser la dictature des fonctionnaires et rétablir les libertés en France, tel est l’objectif du R.P.L., vivre avec des milliers de milliards de dettes n’est plus possible !

Ce film se déroulait au ralenti. Mais il vient de s’accélérer. Après deux ans, le pouvoir à Macron (ancien ministre socialiste) installé en mai et juin 2018 était déjà vacillant. Cela ne s’était jamais vu dans un si court délai sous la Ve République. Cela signe à l’évidence la fin prochaine du régime, voire de la 5° République.
J’ai déjà eu l’occasion de dire qu’un tel événement se produit lorsque trois facteurs sont réunis : un grave problème, un pouvoir politique faible, dominé par des lobbies puissants (un lobby est un groupe de personnes, d'institutions ou d'entreprises qui partagent des intérêts financiers, politiques ou professionnels et qui cherchent à influencer les décideurs publics ou les milieux influents en leur faveur). La IVe République était ainsi tombée parce que ses faibles gouvernements successifs étaient impuissants à résoudre le problème de l’Algérie face aux lobbies, de tous ceux qui ne voulaient pas l’abandonner. La Ve République se trouve aujourd’hui confrontée à une grave crise économique que le pouvoir est incapable de régler parce qu’il ne représente en réalité que des lobbies occultes appuyés par une fonction publique plus ou moins corrompue, au plus haut niveau, ce qui affaiblit le gouvernement au point de lui enlever toute efficacité et toute légitimité.

Le pouvoir, en France, doit revenir à ceux qui entreprennent, et aux Français. Qui va les représenter ? L’UMP ou le PR ? Ils sont aux mains de la technocratie qui a maintenu et développé le socialisme à chacun de leurs passages au pouvoir : comment leurs faire confiance ? Le Front national ? Il s’est doté d’un programme économique que même les communistes n’osent plus afficher, sans même parler des revirements de direction de Marine le Pen, aujourd’hui partisane d’une Europe autrement, ce qui ne signifie absolument rien, mais elle assure ses revenus de députée en espérant mieux, pour elle, allant jusqu’à se faire la pire ennemie de Zemmour, refusant toutes formes d’alliance à droite !
Alors, disent certains, il n’y a donc personne à qui se fier ? Mais si, voyons, il y a tous les Français qui ne supportent plus la dictature des fonctionnaires et la ruine de leur pays. Ils constituent l’immense majorité des citoyens. Nous trouverons parmi eux, sans difficulté, des hommes et des femmes qu’on ne voit pas à la télévision, mais qui sont capables de gouverner la France et qui assureront son redressement.

Il n’y a plus qu’à attendre le grand craquement final du régime. Avec les exploits catastrophiques de Macron, et ses successeurs potentiels et autres complices se prétendant dans l’opposition, comme le PR, tout en ayant des membres ministres à Macron, ça devient comique), c’est pour bientôt (bien avant 2035) ! 



Moins de stress
Je prends ici un exemple pris en compte par le R.P.L. pour le bien-être de chacun : Le stress. Les situations qui peuvent générer du stress sont nombreuses. Et, dans son prolongement, une perte de moral, des perturbations d’ordre digestif, des troubles du sommeil. Se libérer d’un stress invasif, c’est se libérer de tout cela ! 
 
Au niveau de la vie de tous les jours, l’une des principales sources de stress consiste souvent en des difficultés financières, aspect rarement évoqué et pourtant bien présent chez des millions de personnes en France. Le R.P.L. n’hésite pas à affronter ce problème en mettant un terme aux tracasseries administratives tous en prenant en charge les frais pharmaco-médicaux et modifiant les modes de rémunération, mais surtout en supprimant tout simplement tous les impôts directes (plus d’angoisse pendant l’attente des feuilles d’imposition et fin des mauvaises surprises).
 
Le stress engendre de grandes dépenses d’énergie, tant physiques que mentales. Il est cause d’une surconsommation de médicaments ! 
Il pousse notre organisme à consommer davantage de magnésium, de zinc, de calcium, de vitamines B et C. Le magnésium, quatrième minéral le plus répandu dans notre corps, joue un rôle prépondérant dans la fonction nerveuse. Il intervient notamment dans la diminution des sécrétions des hormones et des messagers chimiques du stress. En situation de stress, il est ne faut surtout pas en manquer. Lorsque c’est le cas, ce déficit en magnésium favorise l'hyper-réactivité de notre organisme au stress.
Parmi les dommages collatéraux du stress, nous trouvons : 
· Baisses de moral, 
· Fatigues
· Dérèglements digestifs 
· Troubles du sommeil,
· Angoisses
· Dépressions, risques de suicides, etc.
 
S’il est intéressant de se supplémenter, en magnésium de bisglycinate ou malate, pour renforcer notre capacité de résistance comme le conseillent les nutrithérapeutes, ce n’est pas suffisant. Le caractère psychosomatique du stress est plus qu’évident, c’est donc à la source qu’il faut l’attaquer pour le neutraliser. Il n’est pas rare qu’un stress important s’accompagne d’une baisse de moral, surtout chez les personnes émotives. 
 
La sécrétion de sérotonine, l’hormone du bonheur est certes abaissée, et en simultané elle entraîne une hausse de la production de cortisol (l’hormone de la vigilance). Malheureusement, lorsqu’elle est sécrétée de façon permanente, cette hormone peut nuire à nos facultés de concentration et de mémorisation et donne alors le sentiment de surmenage à l’origine du stress et de la perte d’envie. 
 
Pour neutraliser cette surenchère, la recherche des causes réelles s’impose, les thérapies symptomatiques, de la médecine allopathique actuelle, ont rarement des effets à long terme, les composantes affectives du stress ne se traitent pas par des produits physiques, mais en neutralisant les causes profondes propres à chaque cas particulier. Il convient alors d’en rechercher l’origine dans la vie familiale, professionnelle, ou autres (nous entrons là dans le domaine de la médecine psychosomatique naturelle (à ne surtout pas confondre avec la psychiatrie, le stress ne relève pas de psychopathie (généralement).

Le stress a un coût important pour la société : Au niveau du travail, le corps humain n’est pas fait pour passer de longues heures, assis à effectuer des tâches répétitives ou devant un écran d’ordinateur. Mois après mois, les tensions s’accumulent et créent de véritables problèmes de santé. Les coûts humains et financiers occasionnés par cet état sont considérables pour une entreprise :
Baisse de productivité
Blessures
Burn-out
Absentéisme
 
C’est une approche individualisée de gestion du stress directement au poste de travail qui s’impose, en utilisant des éléments d’ergonomie, de correction de postures ainsi que des exercices de respiration et de relaxation. Le mode de travail est souvent cause de stress, chaque employé doit pouvoir se relaxer, respirer, se régénérer en énergie. 

Je ne crois pas qu’une vie sans stress soit possible. Le stress est souvent la réponse à une difficulté mais une vie sans petits défis pour avancer et apprendre n’existe pas. En même temps, il me semble que la plupart du stress que nous vivons n’est pas nécessaire et peut-être éliminé en prenant quelques nouvelles habitudes. Cela commence par :
1) Arrêtez de vouloir tout contrôler : Essayer de vouloir contrôler les gens où les situations qui nous échappent ne peut pas fonctionner et va seulement augmenter notre niveau de tension à chaque fois que les événements ne vont pas aller comme vous le voudriez. La seule chose que vous pouvez contrôler c’est vous-même et vos réactions, travaillez sur cela avant de vouloir changer le monde. Lorsque vous avancerez sur ce chemin en vous améliorant, vous aurez fait un grand pas en avant vers une vie sereine.
2) Simplifiez votre vie : C’est une autre clé importante pour vivre avec moins de stress. Simplifiez en ayant moins d’engagement, moins de choses à faire, moins de choses à ranger, moins de pensées qui tournent en boucle dans votre tête, etc. La clé pour réussir est d’établir des limites à ne jamais dépasser. Par exemple, dès que je commence à avoir trop de choses à faire qui m’ennuient, je sais que c’est le moment de faire le point sur mes véritables priorités et d’éliminer ce qui n’en fait pas partie.
3) Relaxez-vous tout au long de la journée : C’est important de s’accorder des petits moments de pauses dans la journée. Arrêtez ce que vous faites et étirez-vous, buvez un peu d’eau ou même faites quelques pas. Si vous le pouvez, allez faire un tour à l’extérieur pour prendre l’air. Vous allez revenir avec plus d’énergie et vous sentirez moins stressé (e).
4) Ralentissez : C’est un autre point vraiment important qu’il faut souvent se rappeler. Au lieu de courir dans tous les sens, apprenez à faire les choses doucement avec toute votre attention. Savourez la nourriture, les gens autour de vous, la nature, la tâche que vous êtes en train de réaliser, etc. Cette seule étape va vous économiser beaucoup de stress inutile.
5) Ressentez de la gratitude : Cela peut sembler moins évident que le reste mais développer une attitude de gratitude nous fait nous sentir bien et, par ricochet, élimine le stress. Pour cela, remerciez simplement pour tout ce que vous avez, pour les gens dans votre vie, voyez tout ce qui se présente comme un cadeau de la vie (de nombreuses religions ou communautés pratique souvent ainsi en remerciant leur Divin).
6) Faites de l’exercice : C’est un conseil que vous entendrez souvent pour réduire le stress et ça marche. L’exercice physique aide à éliminer le stress, à vous donner des moments de calme sans rien d’autre à faire et contribue à votre remise en forme.
7) Méditez : Cela vous aidera à devenir plus vigilant face à vos réactions, non pas pour vous contrôler, mais pour voir clairement ce qui se passe. Par exemple, vous êtes en retard et vous voyez que vous commencez à vous inquiéter, à stresser, à imaginer les pires scénarios possibles. Au lieu d’alimenter cela, vous restez calme et vous faites simplement ce qui est approprié. En méditant un peu tous les jours, vous allez développer cette compétence d’agir de façon appropriée et non plus réagir de façon automatique selon vos peurs et inquiétudes du moment.
Tout ne va pas changer du jour en lendemain mais petit à petit avec tous ces outils, vous pouvez considérablement réduire votre niveau de stress, sans avoir à prendre de drogues médicamenteuses ou d’alcool.
 
Le R.P.L. prendra de nombreuses mesures pour réduire le stress de chacun : Nouveau mode d’imposition, salaire du conjoint au foyer, minimum vital automatique, nouveau mode de Justice (cours de conciliation), simplification des lois, fin de la dictature, du remplissage des feuilles d’imposition, rétablissement de nos libertés, indépendance de la France, etc. Il s’en suivra une bien meilleure santé pour tous, donc moins de frais pour la collectivité (soins gratuits) !
 
Moins de stress engendre plus de santé, il est très important qu’un gouvernement prenne tous ces facteurs de santé en considération, facteurs importants d’économies sur le long terme, même si les politiques préfèrent l’ignorer, dans l’intérêt de ceux qui les financent de manières inavouables (corruptions) en contraignant les populations à des modes de vie et de soins antinaturels !
 
 
Retour à la liberté

Retour de la liberté Tel est notre principal objectif sans lequel rien ne serait possible ! Pour atteindre cet objectif, un changement total de la politique de la France sera opéré, une politique en opposition avec celles que les Français subissent depuis la nuit des temps, en dépit de la Révolution et autres changements ! 

Nos actions seront précises et fermes, à savoir :
Sortie de la France de la dictature européenne ;
Établir un véritable régime d’égalité et de liberté, pour tous nos ressortissants ;
Changement de constitution par référendum constituant ;
Abrogation des lois liberticides et des jurisprudences ;
Institution d’une démocratie quasi directe (création de référendums d’initiative populaire, votations directes par le peuple) ;
Fin du système d’imposition directe (une T.V.A. autorégulatrice pour rééquilibrer l’économie et rembourser la dette publique) ;
Renforcement et rénovation de notre système de défense ;
Refonte totale de l’Éducation nationale (sérieuse remise à niveau, en réduisant les frais : anti-gaspillage) ;
Réduction massive des gaspillages ;
Assainissement de la presse (fins des fausses informations et des campagnes de propagandes politiciennes mensongères pour tromper le peuple) ;
Libération de notre système de santé (médecine libre) ;
Un seul ordre judiciaire et triplement du personnel de Justice (fin des procédures qui durent des années) ;
Création des cours de conciliation gratuites ;
Mise en place de peines plancher en droit pénal ;
Nouveau Conseil d’État avec membres élus ;
Fin du Sénat, du Conseil constitutionnel, des communautés de communes, des nouvelles Régions ;
Réduction du nombre de députés (1 pour 200.000 habitants : 335 députés réellement actifs suffiront) ;
Rétablissement de la sécurité intérieure (intervention de l’armée dans les zones de non-droit) ;
Fin de la politique coloniale (en outre-mer) ;
Amélioration du système routier ;
Suppression de 80 % de hauts fonctionnaires et leurs remplaçants éventuels seront à élire ;
Développer la permaculture
Fin des privilèges et des situations de monopole ; 
Stopper totalement l’immigration clandestine et rapatriements automatiques des Étrangers en situation irrégulière ;
Déchéance de nationalité pour les délinquants naturalisés depuis moins de 10 ans, punis à plus de 2 ans de prison ;
Fin des répressions policières, pour une collaboration entre la police et la population face à la criminalité.

Un vaste programme pour redonner à la France son honneur et la place qui devrait être la sienne sur le plan international, au niveau de l’éducation, des finances, du commerce, de la production industrielle et agricole, et militaire !

Une politique de réciprocité pour les échanges avec les autres États (plus d’assistanat pour maintenir des dictateurs au pouvoir, pour entretenir des guerres qui ne nous concernent pas). Le R.P.L. recherchera toujours la Paix et la conciliation. Politique d’immigration très ferme, quasiment nulle tant que la dette publique ne sera pas réglée, et grande prudence ensuite. Liberté totale de penser et de culte, mais les sectes, religions ou autres groupements qui se rendront coupables de crimes sur notre territoire, au nom de leurs croyances, seront tout simplement interdits, voire combattues en cas de tentatives d’invasion sournoises, pour la sauvegarde de notre civilisation ! 

Sélection des aliments
On ne peut jamais avoir une santé véritable et durable grâce à des protocoles médicamenteux. Il y a des effets secondaires à chaque médicament ! Rien que cela devrait soulever des problèmes. Les hommes ne devraient pas avoir à dépendre d’une médication qui n’a jamais existé auparavant. La dépendance étrangère, souvent « rapide », à l’égard des médicaments a créé les super-microbes et les souches de résistance aux médicaments que nous avons à combattre aujourd’hui. Au lieu de médicaments, nous devons d’abord nous tourner vers la nourriture.

Mais au lieu de cela, nos futurs médecins en apprennent davantage sur les interactions médicamenteuses et non sur l’alimentation saine et les aliments médicinaux. Toute la communauté médicale s’est retournée et a renversé la situation, et la véritable science du fonctionnement du corps a été éliminée. Les centres de profit et les grands yeux des industries pharmaceutiques ont été créés. Il y a du profit à combattre et à traiter les symptômes de la maladie avec des médicaments. Mais il n’y a aucun profit à cultiver sa propre nourriture et à nourrir et guérir son corps par des choix nutritionnels.

La théorie des germes ne reconnaît pas la puissance de votre alimentation pour prévenir et traiter les maladies (en particulier les maladies chroniques ou les maladies non transmissibles (MNT) comme le cancer, les maladies cardiaques, les maladies pulmonaires, le diabète, etc.). 

Certains médicaments sont nécessaires pour les maladies infectieuses, ce qui est une catégorie complètement différente. Les maladies infectieuses, y compris le VIH/SIDA, la tuberculose, le paludisme, la polio et les maladies tropicales se propagent facilement par contact personnel, l’eau, l’air et même les moustiques et les mouches. Mais même ceux-ci recherchent un hôte plus opportuniste - quelqu'un qui a un système immunitaire compromis ou une zone de faiblesse interne à exploiter.

Les maladies chroniques sont la plus grande cause de décès à laquelle nous faisons face et elles sont en grande partie traitables par le biais de nos habitudes alimentaires et de santé. S’attaquer à toutes les maladies liées aux médicaments - et promouvoir l’abus de médication - ne fonctionne pas et n’a jamais fonctionné pour atteindre la santé. 

L’alternative : La façon dont vous abordez la nourriture peut changer votre santé pour le reste de votre vie - et c’est totalement sous votre contrôle ! La nourriture est un médicament et peut prévenir les maladies et améliorer la santé en créant un état interne sain dans votre corps. Tout au long de l’histoire, des hommes sages ont admis la nécessité de traiter tout le corps et de commencer par la nourriture.
La médecine traditionnelle chinoise, qui remonte à plus de 3 000 ans, traite le corps entier plutôt que les symptômes de la maladie. Même Hippocrate, considéré comme « le père de la médecine », a observé il y a 2 400 ans de « laisser vos médicaments dans les pots du pharmacien si vous pouvez guérir votre patient avec de la nourriture ».

Pasteur a été un grand orateur et a gagné le débat à la fin des années 1800, ce qui est malheureux car la recherche réfute la « théorie des germes » et le travail de Béchamp selon lequel nous pouvons créer un environnement interne qui soutient la santé et décourage la maladie par les choix alimentaires que nous faisons. La nourriture que nous mangeons peut aider à créer une vie saine et sans maladie. 
Mesurer son pH acido-basique

Tout d’abord, le pH ne se mesure que dans les fluides et quand on parle de l’équilibre acido-basique dans le corps humain, on parle en réalité du pH dans le plasma sanguin. Le pH signifie potentiel d’hydrogène et se mesure sur une échelle de 0 à 14 :
Entre 0 et 7, le fluide mesuré est acide :
A 7,5, on dit que le pH est neutre, équilibré entre acide et base ;
Entre 8 et 14, le fluide mesuré est basique ou alcalin.
Pour être en bonne santé, on considère que le pH sanguin doit tourner autour de 7.40, avec de petites variations physiologiques d’une personne à une autre, mais jamais de l’ordre de plus de 0.0 2 ! Il s’agit donc d’une mesure très précise et le corps possède des systèmes de régulation sophistiqués pour conserver ce niveau de pH.

Connaître l’acidité de notre corps permet de déterminer si nous devons mettre des actions en place pour réduire par exemple l’apport d’aliments acidifiants, pour se maintenir en bonne santé Notre corps élimine tous les acides en excès principalement par le rein. Mais aussi en moindre quantité par les poumons qui rejettent les acides volatiles. Plus une personne a d’acides excédentaires, plus ses reins vont chercher à les chasser et plus son pH urinaire va être acide. Chez une personne en bonne santé, le pH urinaire normal se situant entre 6.5 et 7.5.
Le pH, potentiel hydrogène, est la mesure de l'acidité ou de la basicité d'une solution, basée sur la concentration en ions H+. Il est une grandeur sans unité qui permet de mesurer l'activité de l'ion hydrogène (abrégés par le symbole chimique H +) dans une solution aqueuse :
Si la concentration d'ions d'hydrogène dans le liquide est élevée, il est acide (les acides ont un pH inférieur à 7).
Si la concentration d'ions d'hydrogène est faible, il est basique (alcalin) (les alcalins ont un pH supérieur à 7).
Les substances qui ne sont ni acides ni alcalines (c'est-à-dire des solutions neutres) ont généralement un pH de 7.
La baisse d'une unité de pH implique que l'acidité est multipliée par un facteur 10. Ainsi :
Une eau de pH 6 est dix fois plus acide qu'une eau de pH 7.
Une eau de pH 5 est 100 fois plus acide 

L'échelle de pH est utilisée pour classer les solutions en termes d'acidité ou de basicité (alcalinité). Cette échelle est basée sur l'équilibre entre les ions hydrogène [H+] et d'ions hydroxyle [OH-] :
Si la concentration en H+ est supérieure à celle en OH-, le matériau est acide ; c'est-à-dire que la valeur du pH est inférieure à 7.
Si la concentration en OH est supérieure à son H+, le matériau est basique, avec une valeur de pH supérieure à 7.
Si des nombres égaux d'ions H+ et OH sont présents, le matériau est neutre, avec un pH de 7.
Il est très important de connaître l'importance du pH dans notre environnement et dans notre corps pour situer notre équilibre acido-basique. Il est mesuré, et son rôle est crucial dans la chimie, la biologie. Mesurer l’acidité du corps grâce aux bandelettes pH (ci-contre)
Pour évaluer le degré d’acidité de mon organisme, j’ai deux solutions :
Observer si j’ai des symptômes venant d’une trop forte acidité.
Mesurer mon pH* urinaire. Protocole pour mesurer l’acidité
D’abord, se procurer des bandelettes de pH (environ 5 € les 52 bandelettes en boutique bio ou 10 € le rouleau en pharmacie
-> pour info, vérifiez les unités de mesure qui doivent être précises et comprendre les demi-mesures : ex 5- 5,5 -6- 6,5 -7 etc.). Elles changent de couleur en fonction du pH des liquides dans lesquels elles sont trempées.

Puis pendant 5 jours, mesurer trois fois par jour le pH de mes urines :
la 2ème urine du matin, la première étant souvent très acide, car chargée du nettoyage de la nuit.
Celle avant le repas du midi,
Celle avant le repas du soir.
Faire ensuite la moyenne de ces 5 jours en additionnant tous les résultats puis en divisant par le nombre de mesures. Lecture des résultats de mesure d’acidité :
Si votre pH moyen est inférieur à 7, vous avez trop d’acidité ! Dans ce cas, il est important de mettre en place un programme afin de prévenir l’apparition de troubles de santé et de maladies liés à un terrain acide.
Si votre pH moyen est au-dessus de 7.5, il se peut que vos reins fonctionnent mal et n’effectuent pas leur travail d’élimination des acides. Vous devez alors impérativement consulter un médecin.
Si votre pH moyen se situe dans la bonne fourchette (entre 7 et 7.5), félicitations ! Cependant, votre pH est susceptible de se modifier à tout moment en fonction d’un stress trop important ou de l’accumulation de mauvaises habitudes de vie ! Je vous conseille donc de suivre aussi les préceptes ci-dessous, afin de prévenir la plupart des troubles de santé et des maladies.
*Le pH signifie potentiel hydrogène. Il mesure l’acidité ou la basicité d’une solution aqueuse.
Quand le pH = 7, il est dit neutre ;
Quand le pH < 7, il est dit acide ; plus le chiffre est bas, plus le pH est acide ;
Quand le pH > 7, il est dit basique ; plus le chiffre est haut, plus le pH est basique.

Équilibre acido-basique : comment tester son pH. Mesurer son propre pH et se renseigner sur son équilibre acido-basique est très simple. Puisque le sang est nettoyé par les reins, l’urine constitue un très bon point de repère.
Vous pouvez donc acheter des bandelettes urinaires en pharmacie, en évitant les premières urines du matin, souvent plus acides que la moyenne. Pour interpréter vos résultats, vous pouvez vous référer à la première partie de l’article. Le pH est rarement au-dessus de 7.5, mais si vous le constatez régulièrement, cela veut dire que vous avez un terrain alcalin.
L’acidité et ses conséquences sur la santé sont importantes : Il arrive que les systèmes de régulation ne suffisent plus. L’organisme assure une régulation permanente du pH (soumis à un rythme pendulaire acido-basique) grâce à différents appareils et systèmes organiques interdépendants que sont l’appareil digestif, le sang, le mésenchyme, le foie. Deux organes d’épuration se chargent de l’élimination des déchets acides de l’organisme : les poumons pour les déchets volatils (respiration), les reins (secondés par la peau) pour les déchets denses plus difficiles à évacuer.
Soit que l’on ait apporté trop d’éléments alcalins à notre corps (mais cela arrive très rarement), soit, plus fréquent, que l’on ait accumulé des éléments acides qui proviennent souvent d’une mauvaise alimentation, du stress et parfois de la pollution. Cela se nomme l’acidose. Le problème de l’acidose, c’est qu’elle peut être chronique et, à la longue, fatiguer tout l’organisme qui produit des efforts supplémentaires pour réguler le pH dans le sang.
Les premiers signes de l’acidose concernent les cheveux, les ongles la peau qui paraissent ternes et affaiblis. Si elle persiste, les symptômes sont variés, allant d’une fatigue chronique à une augmentation des calculs rénaux ou de la tension artérielle.



Équilibre acido-basique et Révolution industrielle
Notre mode de vie contemporain nous a fait adopter de mauvais comportements alimentaires et favorise l’acidification de l’organisme. Or, l’hyperacidité prend une part importante dans le développement de maladies métaboliques. C’est qu’il faut savoir que nous possédons deux organes essentiels nous permettant d’éliminer les déchets acides : les reins qui éliminent les acides non volatils et les poumons qui éliminent par évaporation les acides plus volatils.
Les troubles occasionnés par un excès d’acidité sont nombreux. Ainsi, l’homéostasie, processus physiologique permettant de maintenir à niveau les liquides circulant dans l’organisme grâce à l’activité des reins, des poumons, de l’intestin et de différentes hormones régulatrices de micros-éléments, doit toujours être préservée. C’est une illustration organique de la notion d’équilibre. Or, en vertu de ce principe d’homéostasie, il arrive parfois que, pour éviter un excès d’acidification du sang et préserver son pH, l’organisme soit obligé de prélever, dans les autres organes, les produits alcalinisant dont il a besoin. Ce déséquilibre acido-basique du corps pourra entraîner alors une déminéralisation qui elle-même causera caries, ostéoporose, arthrose…

La vie humaine requiert un niveau de pH dans le sérum sanguin très précis, aux alentours de 7,4. Ce niveau de pH est rendu possible par l’alimentation, elle-même influencée par le pH de l’environnement (terre et océans).
Malheureusement, l'arrivée de l’agriculture intensive et de l’industrialisation ont profondément modifié le pH du sol et le pH des océans. En outre, le développement de l’industrie agroalimentaire a accentué les déséquilibres avec un accroissement des sucres simples, des matières grasses saturées, des conservateurs et autres additifs.
Ainsi, l’alimentation occidentale contemporaine bouleverse les apports en minéraux, générant un déséquilibre entre potassium et sodium, au profit du sodium, et entre chlorure et bicarbonate, au profit du chlorure. Ces déséquilibres peuvent entraîner une acidose métabolique, dommageable notamment pour le squelette.

À savoir : les excès de sodium et de chlorures engendrent de l’acidité tandis que l'abondance de potassium, de bicarbonate et de magnésium induisent une alcalinité. 




Les impacts du déséquilibre acido-basique sur l’organisme



Lorsque l’alimentation est trop acide, l’organisme va devoir rétablir l’équilibre acido-basique en puisant dans ses propres ressources en potassium et en calcium, des minéraux qui basifient
Cette utilisation des ressources de l’organisme pour lutter contre les effets indésirables d’une alimentation déséquilibrée pourrait entraîner une déminéralisation. De fait, de nombreuses études suggèrent qu’une alimentation trop acide serait néfaste pour la santé des os.
En outre, une alimentation trop acide, notamment si elle est trop riche en protéines animales non compensées par des aliments alcalins, peut entraîner une calciurie, c’est-à-dire la présence de calcium dans les urines. Ce que les personnes souffrant de calculs rénaux veulent absolument éviter par exemple.
Chez les femmes en bonne santé, une alimentation plus alcaline était associée à des meilleurs indices de masse musculaire



Le régime alcalin : une solution naturelle


Quand la nourriture est métabolisée par l’organisme, la plupart des protéines produisent des acides tandis que la plupart des fruits et légumes produisent des alcalis Il convient donc de rétablir l’équilibre acido-basique de l’organisme en adoptant en priorité une alimentation saine et riche en fruits et légumes (le régime alcalin ou acido-basique). Et ce, sans tenir compte de l’acidité en bouche des aliments.
En effet, de façon totalement contre-intuitive, il apparaît que les aliments sucrés sont en réalités acidifiants pour l’organisme tandis que beaucoup d’aliments au goût acide sont au contraire basifiants. Par exemple, le sucre raffiné est l’un des principaux responsables du déséquilibre acido-basique tandis que le citron est l’un des aliments les plus basifiants (en dépit de son acidité, mais seulement après digestion, phénomène constaté mais encore non expliqué) !


L’indice PRAL : un outil bien pratique


PRAL est un acronyme signifiant : Potential Renal Acid Load (Charge acide rénale potentielle). Cet indice mesure en effet la charge acide rénale potentielle d’un aliment. Plus cet indice est élevé (supérieur à 0), plus l’aliment est acide pour l’organisme. Plus cet indice est faible (inférieur à 0) et plus il est alcalin. 
Exemples : la viande de bœuf présente un PRAL de +13,2 (effet acide), tandis que le radis présente un PRAL de -3,7 (effet basique).
Grâce à cet indice, les scientifiques ont pu classer les aliments selon leur potentiel acide sur l'organisme.



Liste des aliments les plus acides et les plus alcalins



Les aliments les plus acides sont ainsi :
L’alcool, les sodas et le sucre raffiné (pH de 3 environ) ;
Les produits laitiers, le café, la viande rouge, les pâtisseries et les aliments transformés (pH de 4 environ).
Entre le pH 5 et le pH 8, on retrouve de nombreux aliments non transformés :
Riz, betterave, volaille, pain complet, pommes de terre et jus de fruits (pH de 5 environ) ;
Poissons, noix de coco, lait, œufs, légumineuses (pH de 6 environ) ;
Eau du robinet et huiles végétales (pH de 7 environ) ;
Maïs, bananes, pommes et poivrons (pH de 8 environ).

Les aliments les plus alcalins quant à eux sont :
La salade, le citron, l’avocat, le kiwi, le céleri, l’aubergine mais aussi la papaye et le gingembre (pH de 9 environ), que l’on retrouve, entre-autres, dans le complément alimentaire Alkaline Formula de chez SuperSmart ;
La spiruline, les brocolis, les carottes, le citron, l’artichaut, le radis, les asperges et les raisins secs (pH de 10 environ).
Car une alimentation équilibrée ne consiste pas à évincer certains aliments jugés trop acides, à l’exception de ceux qui sont reconnus comme néfastes pour la santé (alcool, pâtisseries industrielle, aliments transformés, plats préparés, etc.). Il s’agit au contraire d’équilibrer la balance acido-basique.
À savoir : comme on le voit, l’eau du robinet se situe généralement dans la tranche la plus neutre en termes de pH, en fonction des régions. Dans certains départements, l’eau est légèrement plus acide, dans d’autres, elle est légèrement plus basique (parfois jusqu’à un pH de 8,4).



Quelques exemples concrets d’alimentation acido-basique

De nos jours, l’alimentation présente une tendance très nette à l’acidification.
Si peu de gens présentent un pH trop alcalin, nous sommes en revanche nombreux à avoir un sang trop acide. Avec des conséquences en termes de santé si cela se prolonge dans le temps : augmentation de la tension, fatigue chronique et ostéoporose.
Pourquoi cette acidification du sang ? En plus de la pollution et du stress qui sont des facteurs favorisants, la mauvaise alimentation est souvent mise en cause. En vérité, nous mangeons trop gras, trop sucré et trop de féculents. Et vous l’avez deviné, tous ces aliments participent à l’acidification du sang ! En revanche, nous boudons les légumes verts par exemple qui sont, à l’inverse, basique.
Aller vers un régime acido-basique est donc essentielle pour se sentir plus en forme et prévenir les maladies. Et le petit bonus, c’est qu’il permet aussi de perdre du poids ou de maintenir son poids de forme !
Comment suivre un régime acide base ?
Connaître les aliments acides et les aliments basiques (ou alcalins) permet de composer des assiettes équilibrées. Dans ce régime, il s’agit d’aller vers le bon sens et pas vers les extrêmes : vous aurez besoin d’aliments alcalins, mais aussi d’aliments acides pour être en bonne santé.
Dans le groupe des aliments acides, on trouve en général les aliments riches en protéines :
Les viandes, volailles et poissons, mais surtout le bœuf ;
Les produits laitiers ;
Les produits à base de céréales comme le pain, les pâtes, le riz ;
Les huiles ;
Les produits préparés et ceux de la restauration rapide ;
Les boissons hors eau !

La liste des aliments alcalinisants quant à elle est ignorée par la surconsommation, les plats préparés, la restauration rapide… qui occasionnent bon nombre de troubles alimentaires. Parmi l’un des plus fréquents, le déséquilibre acido-basique causé par une ingestion importante d’aliments acides et une trop maigre consommation d’aliments alcalins. 
Pour faire court, il faut considérer que les aliments producteurs d’acides sont les protéines (animales plus que végétales d’ailleurs) mais également le café, le thé noir, le cacao, le sucre blanc, les graisses raffinées, la plupart des farines… 

Les aliments alcalinisants sont assez peu nombreux. Il s’agit des légumes verts (à consommer crus de préférence), des fruits frais (si possible en dehors des repas), des graines germées, des graines oléagineuses, du jus d’herbe d’orge, du soja, des algues comme le lithothamne, des huiles pressées à froid… 

Rien n’interdit de s’offrir un bon barbecue entre amis, même si la viande (en particulier bovine) grillée est considérablement acidifiante. En revanche, il convient de compenser cette acidité par des quantités importantes de brocolis ou autres légumes au cours du même repas, tout en limitant les céréales. Et pourquoi pas proposer des raisins secs à l’apéritif ou au dessert, avec une salade de fruits ?
Vous pouvez aussi prendre des compléments alimentaires issus d’aliments alcalins, tels que le gingembre (avec Super Gingerols de chez Super Smart, par exemple), la spiruline (avec Spirulina) ou encore une association d’aliments basifiants (avec la formule complète Alkaline Formula).
De même, pour vous assurer de vous hydrater avec un pH élevé, il peut être intéressant d’utiliser de l’eau alcalinisée, comme notre Super Water. Cela permet d’augmenter considérablement le pH de l’eau et de contrer ainsi efficacement la consommation de boissons et aliments acides.
Vous disposez désormais de toutes les clés pour lutter contre l’acidification de votre organisme et pour rétablir votre équilibre acido-basique.
Conseils d’hygiène de vie pour réduire le degré d’acidité de son organisme
Maintenez un équilibre entre l’apport d’aliments basiques (légumes et fruits) et acides (produits laitiers, protéines animales, céréales de type blé, avoine, quinoa…). L’assiette devant être composée d’un minimum de 60% de légumes (Le reste étant composé de 20% de protéines et de 20% de céréales). Cependant, plus votre pH urinaire est acide, plus vous favoriserez les aliments alcalins et plus vous supprimerez les aliments acides.   


Compléments d’informations utiles
Une désintoxication de l’organisme pour rétablir l’équilibre, les bienfaits d’une cure d’aliments alcalins est souvent conseillée. Vous l’aurez compris, il est important d’éviter tout excès d’acidité et de maintenir un bon équilibre acido-basique par l’alimentation. Aussi, pour une désintoxication de l’organisme, une courte cure d’aliments alcalins pourra être entamée. L’ingestion de produits alcalins est possible sous la forme de comprimés… la nature faisant bien les choses, vous pouvez trouver ce dont vous avez besoin dans l’alimentation, à compléter par des compléments alimentaires naturels (Attention à la publicité mensongère, très fréquente dans ce domaine, un contrôle sérieux sera mis en place avec le R.P.L.). Donc, au quotidien, pour une alimentation plus saine, tendre vers une alimentation plus alcaline. Là encore, faites dans la modération et ne changez pas vos habitudes alimentaires de manière trop brutale. Sans désordre important (auquel cas c’est à un médecin nutritionniste qu’il faut faire appel), il est inutile de bannir totalement les aliments acides au profit des aliments alcalinisants… En effet, créer une frustration serait pire et risquerait d’annihiler tous vos efforts.
Une simple cure régulière, alliée à une vigilance sur la durée par rapport à l’équilibre acido-basique suffira à vous faire vous sentir mieux.
Accrochez donc bien en évidence la liste des aliments alcalins et acides dans votre cuisine, cela vous permettra d’avoir toujours à l’esprit qu’en toute chose, l’équilibre et la modération sont primordiaux.
Quels sont les principaux signes d'un déséquilibre acido-basique
des aigreurs digestives avec renvois acides,
des caries, l'ostéoporose,
une perte de cheveux anormale, des ongles cassants,
des douleurs musculaires très fréquentes, les courbatures étant liées à une acidose des tissus.

8 réflexes à adopter pour réduire l'acidité du corps
1. Évitez les aliments industriels
Faites le plein de fibres
Buvez des infusions à profusion
Réduisez les farines blanches. (Par exemple, la farine de blé a un indice Pral de 9.1, le riz blanc de 1.6 et les flocons d'avoine de 1.7. En outre, plus la céréale sera raffinée, plus elle sera acidifiante. …)
Consommez des légumes crus (Parmi les plus alcalinisants nous trouvons : Persil. Curcuma. Tisane avec ortie et fenouil. Cacao cru. Abricot sec. Raisin sec. Bette. Épinard…)
Mangez des fruits (raisins, abricots, figues, bananes, avocats, dattes, fraises, framboises, pêches et pommes font partie des fruits les plus alcalinisants pour votre corps, profitez-en. Vous pouvez les consommer chaque jour, en quantité.
Diminuez les protéines animales
Du sport et un bon sommeil.
Buvez de l’eau avec du jus de citron pressé (sans sucre). Le citron, malgré son goût amer est très basique.

Il faut savoir aussi que l'asperge, le concombre, les brocolis, la courgette, l'artichaut, ou encore le poivron vert, sont très efficaces pour rééquilibrer l'équilibre acido-basique dans l'organisme. Vous pouvez également les consommer sous forme de smoothie vert (boisson créée à base de fruits et de légumes mixés, à laquelle on ajoute généralement du jus de fruit pour éviter l’effet purée).

Dans le groupe des aliments alcalins, on retrouve les aliments riches en sels minéraux :
Les fruits et légumes, notamment les légumes verts ;
Les noix, graines et épices ;
Certains féculents comme le quinoa et la pomme de terre ;
Les jus de fruits pressés.

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Les impacts du déséquilibre acido-basique sur l’organisme
Le régime alcalin : une solution naturelle
L’indice PRAL : un outil bien pratique
Liste des aliments les plus acides et les plus alcalins
Quelques exemples concrets d’alimentation acido-basique
Compléments d’informations utiles
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RASSEMBLEMENT POUR LA LIBERTE

Seul un peuple libre et indépendant peut connaître le bonheur et la joie de vivre !

La liberté constitue un idéal presque irréalisable : tous les gouvernements qui se sont succédés à ce jour,

sans exception, de droite comme de gauche, ont porté atteinte à nos libertés depuis 1789 !

La liberté est le but et la raison d’être du Rassemblement Pour la Liberté (R.P.L. en abrégé)

Liberté, égalité pour tous

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